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1.
Mali méd. (En ligne) ; 38(1): 1-10, 2023. tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1427096

ABSTRACT

Introduction : La forme digestive pure de la COVID-19 est possible et initialement considérée comme rare. L'objectif était d'étudier la COVID-19 en milieu chirurgical. Matériels et méthodes: L'étude était descriptive prospective de Mars 2020 à Aout 2021 (18 mois). Tous les patients qui ont été opérés, hospitalisés ou consultés dans le service, au service d'accueil des urgences (SAU) ou dans d'autres services du CHU. GT pour pathologie chirurgicale avec COVID-19 ou infecté au COVID-19 en cours d'hospitalisation étaient inclus dans l'étude. Résultats : 23 cas colligés ; représentant 8,91 % (23/258) des cas de COVID-19 recensés, une fréquence de 1,27/mois. La tranche d'âge 66-75 ans était la plus atteinte, la moyenne d'âge était de 49,13 ± 18,75ans, la prédominance était masculine (sex-ratio de 1,3). Plus de 34,78% ont été recrutés au SAU, 16 malades (69,56%) ont consultés en urgence, les signes digestifs du COVID-19 étaient : Douleur abdominale 20 cas (89,96%), anorexie 19 cas (82,61%), Vomissements 8 cas (34,78%), diarrhée 3 cas (13,04%). Les signes pulmonaires du COVID-19 étaient : Toux 18 cas (78,26%), douleur thoracique 15 cas (65,22%), dyspnée 9 cas (39,13%). Les manifestations du COVID-19 étaient : pulmonaire 9 cas, digestives 9 cas, associées 3 cas, découverte fortuite 2 cas. Le moyen diagnostic a été la TDM Thoracique (100%), le Test-PCR 14 cas (60,86%) avec un test-PCR positif dans 50% des cas. Les pathologies chirurgicales étaient des urgences chirurgicales dans 7 cas (30,43%), des cancers dans 6 cas (26,09%), manifestation digestive COVID-19(30,43%), autres 3 cas (13,04%).Plus de la moitié des malades étaient opérés 12 cas (52,17%). La mortalité globale était de 60,87% et la mortalité des malades opérés était de 41,67%. Conclusion : Les pathologies chirurgicales et COVID-19 n'étaient pas fréquentes. La plupart des malades avaient plus de 50 ans avec une présence moyenne de comorbidité. Les signes pulmonaires étaient les plus marquants, cependant les signes digestifs étaient inaugurales dans la moitié des cas de notre étude. La TDM Thoracique associée ou non au Test-PCR oro-pharyngé permet de faire le diagnostic. Le traitement peut-être médico-chirurgical ou médical. Le risque infectieux de la COVID-19 au cours de l'hospitalisation, pendant ou après la chirurgie est réel et potentiellement grave pour le malade ainsi que les soignants.


Introduction: The pure digestive form of COVID-19 is possible and initially considered rare. Our objectives were to determine the frequency of COVID-19 in patients treated in general surgery, identify the circumstances of COVID-19 discoveries in surgery, describe the post-operative complications in patients operated on COVID-1919 and describe the reorganization of post-operative COVID-19 diagnosis management.Materials and methods: We conducted a prospective descriptive study from March 2020 to August 2021 (18 months). All patients who have been operated on, hospitalized or consulted in the department, the Emergency Department (ERS) or other CHU-GT departments for surgical pathology with COVID-19 or infected with COVID-19 while hospitalized were included in the study.Results: 23 cases collected, representing 8.91% (23/258) of COVID-19 cases identified, a frequency of 1.27/month. The age group 66-75 was the most affected, the average age was 49.13 18.75 years, the predominance was male (sex ratio of 1.3). More than 34.78% were recruited at the SAU, 16 patients (69.56%) consulted in emergency, and digestive signs of COVID-19 were: Abdominal pain 20 cases (89.96%), anorexia 19 cases (82.61%), vomiting 8 cases (34.78%) and diarrhea 3 cases (13.04%). The pulmonary signs of COVID-19 were: Cough 18 cases (78.26%), chest pain 15 cases (65.22%), and dyspnea 9 cases (39.13%). Manifestations of COVID-19 were: pulmonary 9 cases, digestive 9 cases, associated 3 cases, incidental discovery 2 cases. The diagnostic mean was Thoracic CT (100%), Test-PCR 14 cases (60.86%) with a positive PCR test in 50% of cases. Surgical pathologies were surgical emergencies in 7 cases (30.43%), cancers in 6 cases (26.09%), COVID-19 digestive event (30.43%) and other 3 cases (13.04%). More than half of patients were operated on 12 cases (52.17%). The overall mortality was 60.87% and the mortality of surgical patients was 41.67%.Conclusion: The infectious risk of COVID-19 during hospitalization, during or after digestive surgery is a real and potentially serious risk for the patient and caregiver


Subject(s)
Humans , Male , Female , Aged , Signs and Symptoms, Respiratory , General Surgery , SARS-CoV-2 , COVID-19 , Emergency Medical Services
2.
S. Afr. fam. pract. (2004, Online) ; 65(1): 1-10, 2023. figures, tables
Article in English | AIM | ID: biblio-1437314

ABSTRACT

Long COVID is an emerging public health threat, following swiftly behind the surges of acute infection over the course of the COVID-19 pandemic. It is estimated that there are already approximately 100 million people suffering from Long COVID globally, 0.5 million of whom are South African, and for whom our incomplete understanding of the condition has forestalled appropriate diagnosis and clinical care. There are several leading postulates for the complex, multi-mechanistic pathogenesis of Long COVID. Patients with Long COVID may present with a diversity of clinical phenotypes, often with significant overlap, which may exhibit temporal heterogeneity and evolution. Post-acute care follow-up, targeted screening, diagnosis, a broad initial assessment and more directed subsequent assessments are necessary at the primary care level. Symptomatic treatment, self-management and rehabilitation are the mainstays of clinical care for Long COVID. However, evidence-based pharmacological interventions for the prevention and treatment of Long COVID are beginning to emerge. This article presents a rational approach for assessing and managing patients with Long COVID in the primary care setting.


Subject(s)
Male , Female , Primary Health Care , Signs and Symptoms, Respiratory , Disease Management , COVID-19 Serological Testing , COVID-19 , Cardiovascular Diseases , SARS-CoV-2
3.
Ann. afr. méd. (En ligne) ; 13(3): 3694-3700, 2020. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1259085

ABSTRACT

En décembre 2019, la ville de Wuhan en Chine a déclaré des cas de pneumonie virale à SARS-CoV-2, dénommée plus tard par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), COVID19. En quelques mois cette nouvelle entité est devenue une pandémie. Elle concerne à ce jour, 185 pays, atteignant plus de trois millions de personnes et a occasionné plus de 225 000 décès. Cette pandémie a perturbé et déséquilibré tous les systèmes de santé des pays concernés. Ces différents pays ont mis en œuvre des moyens conséquents pour y faire face.Les pays de l'Afrique sub-saharienne (ASS) en général et la République Démocratique du Congo (RDC) en particulier, doivent saisir cette opportunité pour s'organiser, former le personnel soignant, équiper les hôpitaux et améliorer l'accès aux soins des populations susceptibles de contracter cette maladie. La COVID-19 pouvant entraîner des complications graves chez certains patients, les unités des soins intensifs devraient être équipées pour apporter de l'oxygénothérapie de façon optimale, de l'assistance respiratoire par des moyens non invasifs ou invasifs et la suppléance d'autres organes afin d'améliorer le pronostic de ces patients graves. Voilà autant des défis à relever pour sécuriser la prise en charge des patients en ASS et en RDC


Subject(s)
COVID-19 , Africa South of the Sahara , Coronavirus Infections , Democratic Republic of the Congo , Disease Management , Pneumonia, Viral , Signs and Symptoms, Respiratory
4.
Pan Afr. med. j ; 28(288)2017.
Article in French | AIM | ID: biblio-1268512

ABSTRACT

Introduction: les pathologies respiratoires représentent un motif fréquent d'hospitalisation en pédiatrie. L'objectif de cette étude était d'évaluer le profil épidémiologique des pathologies respiratoires chez l'enfant à l'hôpital d'enfants de Rabat, Maroc.Méthodes: il s'agit d'une étude observationnelle transversale qui a concerné tous les cas d'enfants âgés de 3 mois à 15 ans hospitalisés pour une pathologie respiratoire au service de pneumoallergologie et infectiologie pédiatriques de l'hôpital d'enfants de Rabat sur une période d'une année, du 1 janvier 2014 au 31 décembre 2014.Résultats: sur 3537 patients hospitalisés, 2493 (70,5%) l'ont été pour une pathologie respiratoire. Les hospitalisations pour exacerbation d'asthme (p < 0,001), bronchiolite aigüe (p < 0,001) et dyspnée laryngée (p = 0,004) étaient plus fréquentes chez le garçon alors que les hospitalisations pour pneumopathie aigüe (p = 0,005), pour inhalation de corps étranger (p = 0,007) et pour coqueluche (p = 0,020) étaient plus fréquentes chez la fille. Les hospitalisations pour pneumopathie aigüe (p < 0,001), exacerbation de séquelles graves de virose (p < 0,001) et pour coqueluche (p < 0,001) étaient plus fréquentes chez le nourrisson. Les hospitalisations pour pneumopathie aigüe (p < 0,001) et pour coqueluche (p = 0,015) étaient plus fréquentes en période automnohivernale.Conclusion: les motifs d'hospitalisation étaient dominés par les exacerbations d'asthme et la bronchiolite aigüe, lesquelles étaient plus fréquentes chez le garçon. Les infections respiratoires, représentées par les pneumopathies aigües et la coqueluche, étaient plus fréquentes en période automnohivernale et touchaient plus le nourrisson


Subject(s)
Asthma , Hospitalization , Morocco , Pediatrics , Pneumonia , Respiration Disorders , Signs and Symptoms, Respiratory , Whooping Cough
5.
Article in English | AIM | ID: biblio-1257759

ABSTRACT

Background: Approximately half of the earth's population in the rural areas of developing countries uses energy obtained from biomass burning, which is harmful to people. Objectives: This study is aimed at determining which respiratory symptoms can be associated with biomass burning amongst fish smokers in the Oyorokoto fishing settlement. Method: A community-based, cross-sectional questionnaire, which employed a modified cluster sampling technique, was used. Results: A total of 300 subjects were recruited for the study, of which 210 (70%) were fish smokers. The mean age was 31.46 ± 13.03 years, with the majority (42.0%) having only primary school education. The prevalence of respiratory symptoms amongst the subjects was 86.7%, the most frequent of which were catarrh (30.48%) and a cough (28.57%). The respiratory symptom occurring least frequently was breathlessness (2.38%). The symptoms most often experienced during fish smoking were those of catarrh (75.5%) and sneezing (73.0%), whereas breathlessness occurred the least, in only 7 (3.3%) of the participants. Sneezing stopped in 64.2% of the subjects after fish smoking had ceased. Most of the fish smoking took place indoors. Conclusion: Health promotion featuring preventive interventions, such as the wearing of face-masks and the use of modern fish smoking methods, which is associated with fewer health risks, is essential to improving the quality of life of fish smokers. The government's provision of certain social services, including better education opportunities for the young, is advocated, and should be especially targeted at improving the lot of the girl child


Subject(s)
Asthma , Biomass , Female , Fisheries , Nigeria , Prevalence , Rural Population , Signs and Symptoms, Respiratory
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